Quand on se promène en Alsace, il arrive que l’on tombe dans certains villages sur des synagogues abandonnées. Parfois, un panneau précise que cette synagogue a servi pour la dernière fois dans les années 60 ou 70. De fait, ne sont revenus dans les villages que les plus âgés des survivants après la seconde guerre mondiale et cette communauté a maintenant disparu.
Et bien, les immigrationnistes de tous poils devraient venir voir les conséquences de la disparition de cette communauté vieille de plusieurs siècles qui n’était pas venue pour les allocations familiales et qui n’était source d’aucune nuisance pour les « autochtones » . C’est simple : aucune. Aucune conséquence, niet, nada. Les villages concernés ne se sont ni appauvris ni enrichis, le vin et la choucroute y sont toujours aussi bonnes.
Alors, rêvons que l’on verra un jour ce panneau au pied de la mosquée désaffectée de Poitiers : « Ici, la dernière prière a été prononcée le vendredi 25 octobre 2032. Dans le cadre du développement durable, ce lieu de culte sera transformé bientôt en centre d’incinération ».
Et si ça se trouve, les conséquences s’avéreraient même positives !