Cette femme, la femme de Dutroux, a laissé se commettre l’abominable sur des enfants, cette femme a entendu les cris de fillettes torturées, les cris de fillettes agonisant à une porte d’elle. Cette femme a laissé faire. A plusieurs reprises. Ce n’est plus une femme, plus un être humain selon mes critères. Je l’appellerai donc la chose.
La suite des évènements s’est déroulée comme en France, Depardieu ne sera pas dépaysé.
Une police un peu lente au démarrage, une condamnation sévère (enfin, selon les critères actuels), suivie d’une libération très anticipée, à peine la moitié de la peine. Puis un couvent de clarisses l’a acceptée dans ses murs car, comme chez nous, les catholiques sont devenus plus mous que des couilles de bisounours écrasées par un char d’assaut. Et puis, bien sûr, des journalistes belges se sont mis à crier au populisme quand certaines personnes ont osé s’émouvoir que la chose s’en tire simplement avec quelques douces années de prison et que peut-être, dans certains cas d’abomination, on pourrait peut-être envisager des peines plus dures.
Mais la palme de la Francité revient sans conteste à la ligue des droits de l’homme de Belgique qui a tenu à récompenser ce couvent de clarisses pour ses actions de réinsertion et, en particulier, de celle de cette chose dont je laisse l’image souiller votre écran.
Mais pourquoi donc ai-je l’impression que les ligues des droits de l’homme ne s’occupent plus que du bien-être des ordures ou des délinquants ? Voire au mieux de la stigmatisation des populations autochtones pour peu qu’elles soient blanches ? Moi qui croyais que les droits de l’homme, c’était le respect de la liberté, de la propriété, de la sécurité… j’ai du mal comprendre.
erreur la photo est celle de la femme de marc dutroux et non pas celle de michel fourniret
Oups, en fait c’est dans mon texte que je me suis mélangé les tueurs en série sadiques, je voulais parler de Dutroux. En tout cas merci, je rectifie.
» j ai du mal comprendre » ben non pour quoi c’est comme cela que ça marche